Avec des salaires qui se chiffre dans les millions, il est clair que les grands patrons d’entreprises se déplacent en voiture très luxueuse. Enfin, ce n’est pas toujours le cas puisque certains PDG sont plus humbles dans le choix de leur véhicule quotidien et ils apprécient même les qualités des voitures grand public.
C’est notamment le cas d’Ivan Espinosa, nouveau président de la marque Nissan. L’homme d’affaires est un véritable passionné de voiture et c’est pour cette raison qu’il conduit une Nissan Z pour se rendre au travail. Il faut dire que ce dernier est aussi un grand adepte de la marque puisqu’il travaille chez Nissan depuis 2003, pour ainsi dire presque la totalité de sa vie professionnelle, car il n’a que 46 ans.
Une carrière remplie de succès.
Ivan Espinosa possède un diplôme en ingénierie mécanique
Ce dernier a débuté sa carrière chez Nissan en 2003 en tant que spécialiste du produit avant de devenir directeur du produit en 2005 et directeur général du produit en 2006 pour la division mexicaine de Nissan. Il s’est ensuite dirigé du côté de la Thaïlande en 2008 comme directeur du marketing pour ensuite continuer de gravir les échelons en Asie. C’est en 2017 que Ivan Espinosa a été nommé vice-président pour la division de planification du produit chez Nissan. Ce dernier a continué de monter dans la compagnie pour finalement atteindre le plus haut sommet comme PDG de Nissan en 2025.
Espinosa est jeune et dynamique, ce qui est excellent pour l’image de marque de Nissan. Ce dernier se dit d’ailleurs très optimiste face à l’avenir de la marque. Il aime les voitures sportives et c’est pour cette raison qu’il conduit une Nissan Z tous les jours. De plus, le PDG de la marque souhaite le retour de la légendaire GT-R dans la gamme Nissan. Sans parler de la Silvia et des autres sportives légendaires qui ont fait partie de la gamme Nissan au cours de son existence.
Comme vous le savez probablement, Nissan est en pleine phase de restructuration en ce moment. Je crois que l’arrivée d’Ivan Espinosa est exactement ce qu’il fallait à la marque pour avoir le vent dans les voiles.
Jean-Sébastien Poudrier
